musk ox or wild sheep, as well as temperate species as fallow
deer and elk.
presence of mixed associations
with co-occurrence of temperate
and cold species both found in
12 sites at least. This fact seems
to prevail in the large herbivore
communities from the French
data and some differences are
seen in relation with contrasted
environments and the existence
of climatically mild ecosystems :
Midi-Pyrénées and Provence
regions are good examples of
this biogeography parameters
species.
taxonomic identification problems) and the rabbit is rare.
general regression trend with
fractionated vital areas and only
relictual populations survived
which disappeared before the
end of the last glacial phase. It
is probably the case too for cave
hyena ; lynx, wild cat and pole-
cat are rare. On the other side,
badger and polar fox are regu-
larly presents.
can noted the cave lion (but it is
dhole (wild Asian canid still living in India) as well as
mustelids (wolverine, ermine, weasel...).
Maximum in France show rich and diversified communities in
connection with complex ecosystems. The arctic association
(reindeer, horse and bison) is characteristic of this period
although the geographic situation of the French territory
allows the existence of original associations, especially in the
South, with more temperate species represented.
Holocene times. The temperate (interglacial) climatic condi-
territoire : le renne (dans 87% des sites), le cheval
(83%) et les grands
Bovidés, essentiellement
le bison, (63%) ;
chamois et le cerf élaphe
qui restent des éléments
assez communs ;
chevreuil et le sanglier,
qui sont des taxons moins
fréquents.
et le cheval hydruntinus sont des espèces assez rares. Le
cerf géant ne semble présent qu'à l'est avec une mention
à Solutré (Saône et Loire) et une au Pignon (Hautes-
Alpes). On note l'absence totale d'éléments traditionnels
froids tels que le rhinocéros laineux, le boeuf musqué ou
le mouflon ainsi que de taxons plus tempérés comme le
daim ou l'élan.
portant des éléments tempérés et des espèces plus froides
(ex. renne et cerf se retrouvent
associés dans 12 sites) : c'est
en effet ce qui semble préval-
oir dans les faunes du dernier
maximum glaciaire avec
quelques différences liées à des
environnements contrastées et
la présence de zones au climat
plus clément, telles que la
région Midi-Pyrénées ou la
Provence qui ont pu offrir des
zones-refuges pour certaines
espèces.
tifié au niveau spécifique) et le lapin de garenne est rare.
plus fréquents. L'ours des cavernes voit à cette époque sa
distribution se morceler et il ne subsiste que des popula-
tions relictuelles qui ne tarderont pas à disparaître, bien
avant la fin du dernier glaciaire. Il en est probablement de
même avec l'hyène des cavernes ; le lynx, le chat sylvestre
et le putois restent particulièrement rares. Par contre, le
blaireau et le renard polaire sont plus régulièrement
présents.
cavernes (mais il est peint à la grotte Cosquer), la pan-